Vous avez une dent qui a noirci ou viré au gris ?
Une seule. Et elle gâche tout le reste de votre sourire.
Et non, ce n’est pas la faute du café ou du thé.
Les kits de blanchiment externe n’y changeront rien.
Pourquoi ?
Parce que le problème ne vient pas de la surface. Il vient de l’intérieur.
C’est précisément là qu’intervient le blanchiment dentaire interne.
Une technique ciblée, conçue pour traiter la cause à la racine, et redonner son éclat à une dent dévitalisée.
Une dent « dépulpée » (c’est-à-dire dont le nerf a été retiré) peut se teinter pour plusieurs raisons :
- Des résidus d’obturation après un ancien traitement de canal.
- Des pigments sanguins qui ont stagné à l’intérieur après un choc.
- Un ancien matériau de comblement qui a simplement vieilli.
Dans cet article, on va tout vous expliquer simplement.
Vous allez comprendre les étapes exactes du traitement, savoir si c’est la bonne option pour vous, et comment maintenir les résultats sur le long terme.
L’objectif ? Que cette dent isolée retrouve enfin sa luminosité d’origine.
Pour s’intégrer parfaitement à votre sourire.
Blanchiment Dentaire Interne : Définition et Particularités

Alors, pour qui est vraiment ce fameux blanchiment dentaire interne ?
Très simple : c’est la solution pour vos dents dévitalisées.
Vous savez, cette dent unique qui a décidé de faire cavalier seul et de noircir ou de griser, sans raison apparente.
Comme nous l’avons abordé précédemment, une dent « dépulpée » – c’est-à-dire qui n’a plus de nerf – ne « vit » plus vraiment.
Et si elle change de couleur, souvent, c’est que le problème vient de l’intérieur, pas de la surface de l’émail.
Le blanchiment interne, lui, agit exactement là où il faut : au cœur de la dent.
Il ne s’occupe pas de votre émail, qui est pourtant la cible des traitements externes classiques.
Pensez-y : le blanchiment externe, celui avec les gels ou les gouttières, travaille sur la couche superficielle.
Ici, nous parlons d’un agent spécifique qu’on place directement à l’intérieur de la couronne.
Son rôle ? Neutraliser les pigments qui se sont incrustés.
Mais d’où vient cette couleur qui gâche parfois l’harmonie de votre sourire ?
Plusieurs facteurs peuvent expliquer pourquoi une dent dévitalisée fonce :
- Une hémorragie interne : après un choc, même anodin, des pigments sanguins peuvent s’infiltrer et, en stagnante, rendre la dent plus sombre.
- Des résidus de pulpe : parfois, après un traitement de canal (une endodontie), de minuscules fragments de pulpe dentaire peuvent être oubliés. Avec le temps, ils se dégradent et teintent la dent.
- De vieux matériaux d’obturation : il arrive que d’anciens matériaux de comblement, utilisés lors du traitement initial, libèrent des pigments qui migrent et assombrissent la dent.
Alors, comment ça marche concrètement ?
L’agent utilisé – le plus souvent du peroxyde de carbamide ou du peroxyde d’hydrogène – libère de l’oxygène actif.
C’est cet oxygène qui va « casser » les grosses molécules colorées, celles qui sont emprisonnées dans la structure interne de votre dent.
Adieu le voile grisâtre !
Des exemples concrets, ça vous parle plus ?
Imaginez que vous avez reçu un coup, peut-être au football, il y a des années.
Votre incisive centrale a d’abord jauni, puis, au fil du temps, elle a viré au gris.
Votre hygiéniste a beau polir la surface, la couleur ne bouge pas. C’est normal, le problème est bien à l’intérieur.
Dans ce cas précis, le blanchiment interne est la solution qu’il vous faut.
Ou peut-être avez-vous un ancien plombage (un « composite ») un peu sombre, près de la chambre pulpaire, sur une dent déjà traitée.
Le simple fait de le remplacer et d’ajouter une ou deux séances de blanchiment interne pourrait suffire à redonner à cette dent sa teinte d’origine, s’intégrant parfaitement au reste de votre sourire.
Un conseil très simple pour vous aider à y voir clair :
- Si une seule dent vous paraît sombre, alors que les autres ont une couleur normale et satisfaisante, pensez au blanchiment interne.
- Si, en revanche, l’ensemble de vos dents est globalement jaunie en surface, c’est plutôt le blanchiment externe qui serait adapté.
C’est un tri simple, mais très efficace pour faire le bon choix.
Une petite action rapide à faire maintenant :
Prenez un miroir, mettez-vous sous une bonne lumière naturelle.
Observez attentivement la dent qui vous préoccupe.
Si la teinte plus foncée semble venir « du dedans », sans qu’il y ait de tache nette en surface, alors parlez d’interne à votre dentiste lors de votre prochaine consultation.
Enfin, et c’est un point vraiment clé pour éviter toute confusion :
Le blanchiment interne est une technique avant tout conservatrice.
Son grand avantage ? Il vous permet d’éviter, la plupart du temps, de passer directement à une solution plus invasive comme une couronne.
On traite la cause, on respecte au maximum la structure de votre dent, et l’objectif est clair : retrouver l’harmonie et la luminosité de votre sourire.
Alors, à vous de jouer : observez bien, notez vos observations, et n’hésitez pas à poser les bonnes questions à votre professionnel de santé dentaire.
C’est la première étape vers un sourire retrouvé.
Blanchiment Dentaire Interne : Les Étapes de la Procédure

Alors, comment ça se passe, concrètement, ce fameux blanchiment interne ?
Vous l’avez compris, on ne parle pas d’un traitement superficiel ici.
On va agir en profondeur, directement dans la dent.
La procédure, elle se déroule en cinq étapes clés.
C’est un chemin bien balisé pour redonner son éclat à votre dent.
-
Diagnostic et Plan Précis
C’est la première étape, et peut-être la plus fondamentale.
Votre praticien doit d’abord confirmer que la dent est bien dévitalisée (sans nerf, comme on l’a vu plus tôt) et, surtout, qu’elle est stable.
On fait un examen clinique rigoureux, souvent complété par une radio.
On vérifie l’étanchéité de l’ancienne obturation radiculaire et on s’assure qu’il n’y a aucune fissure cachée.
C’est capital : on ne construit pas sur des fondations fragiles, n’est-ce pas ? -
Préparation et Accès au Problème
Une fois que tout est clair, le dentiste va ouvrir délicatement la dent, généralement par l’arrière, une zone discrète.
L’objectif ?
Retirer tous les résidus de pulpe ou de matériaux qui pourraient être à l’origine de la coloration.
Ensuite, une étape cruciale : la pose d’un barrage.
C’est une petite barrière (souvent en composite ou verre ionomère) qui va sécuriser le canal.
Pourquoi ? Pour éviter que le produit de blanchiment ne s’échappe vers la racine.
C’est de la protection pure, pour vous et votre dent. -
Application de l’Agent Blanchissant
Maintenant, le cœur du traitement !
On place le gel directement dans la chambre pulpaire.
Le plus souvent, c’est du peroxyde d’hydrogène ou du peroxyde de carbamide qui est utilisé.
Ce produit, il va libérer de l’oxygène actif.
C’est cet oxygène, puissant et discret, qui va travailler.
Il va s’attaquer aux grosses molécules colorées, les « casser » en plus petites, moins visibles.
Adieu, les pigments internes qui assombrissaient votre sourire ! -
Obturation Provisoire et Temps d’Action
Une fois le gel en place, la cavité est refermée.
Mais pas avec un matériau définitif, non. Avec un matériau temporaire, mais parfaitement hermétique.
Vous repartez chez vous, et le produit va agir, calmement, pendant quelques jours.
Parfois, une seule application suffit.
Mais souvent, il faut prévoir entre un et trois de ces « cycles » d’application.
C’est un travail de patience, mais l’attente en vaut la peine. -
Contrôle de la Teinte et Scellement Définitif
À chaque retour, on vérifie la teinte.
Une fois que la couleur est bien stabilisée, qu’elle correspond à vos attentes et à l’harmonie de votre sourire, le travail n’est pas tout à fait terminé.
On retire le gel, on rince la cavité, et là, on pose une obturation définitive.
C’est une restauration étanche, esthétique, qui va venir protéger durablement votre dent.
Votre dent retrouve sa place, et vous, un sourire harmonieux.
Une action simple pour vous :
Avant votre première séance, sous une bonne lumière naturelle, prenez une photo de la dent concernée avec votre smartphone.
Gardez bien le même angle pour la suite.
Ce sera votre « avant ». Vous verrez l’évolution nette, séance après séance.
Alors, combien de séances sont généralement nécessaires ?
Comme on vient de le voir, comptez souvent 1 à 3 visites pour l’application du produit.
Ça dépend vraiment de la profondeur de la coloration.
Si votre dent était très grise, suite à un choc ancien, par exemple, il faudra peut-être prévoir 2 passages du produit.
Si c’était juste un vieux matériau d’obturation qui causait le problème, une seule séance pourrait suffire, c’est possible.
Chaque cas est unique, vous savez.
Un conseil clé, vraiment :
La préparation de la cavité par votre dentiste, c’est ce qui fait toute la différence.
Bien retirer tous les petits débris et placer cette fameuse barrière canalaire solide…
C’est la meilleure façon de limiter les risques de récidive et de protéger la racine sur le long terme.
Pour mieux vous projeter, imaginez ce scénario concret :
Vous avez cette incisive qui a noirci après un traitement de canal, il y a quelques années.
La première visite chez votre dentiste :
Ouverture, un nettoyage profond pour retirer tout ce qui traîne, on place le gel blanchissant, puis une fermeture provisoire.
Une semaine plus tard :
On contrôle la teinte. Si besoin, une deuxième application de gel.
Dernière visite :
La teinte est validée, elle vous plaît, elle s’intègre parfaitement.
On procède au scellement définitif avec un composite de la bonne couleur.
Et voilà !
Comment savoir si le protocole est vraiment bien fait ?
Voici quelques signes qui ne trompent pas :
- Une barrière interne clairement visible avant la pose du gel.
- Le temps d’action du produit vous est expliqué de manière transparente.
- Un contrôle de la teinte, souvent avec photos et nuancier, est effectué à chaque rendez-vous.
Vous voyez ? C’est une technique de blanchiment très ciblée.
Chaque étape est pensée pour que vous retrouviez l’harmonie de votre sourire, sans avoir à toucher à l’émail sain de vos autres dents.
C’est ça, l’objectif : un résultat naturel, et une dent saine, retrouvée.
Blanchiment Dentaire Interne : Indications et Contre-indications

Alors, pour qui est vraiment ce blanchiment dentaire interne ?
Vous vous en doutez, après ce que nous avons vu plus tôt : c’est la solution pour une dent qui a été dévitalisée, cette fameuse dent « morte », sans nerf, qui a viré au gris ou au brun.
Souvent, c’est après un ancien coup, un petit traumatisme oublié, ou un traitement de canal (ce qu’on appelle l’endodontie) qui a laissé des traces.
Le problème ? Ce sont des pigments internes, de vieux résidus de sang ou de matériaux d’obturation qui se sont incrustés dans la dent.
C’est ça, le vrai coupable.
Alors, quand devez-vous sérieusement y penser ?
Voici les situations classiques où le blanchiment interne est fait pour vous :
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Vous observez une seule dent, et seulement une, qui est visiblement plus grise, plus foncée, ou même brune que les autres.
Peut-être suite à un choc que vous avez eu, il y a des années. -
Vous avez une dent qui a déjà été traitée (on a retiré le nerf), et avec le temps, sa teinte a jauni ou s’est assombrie.
Même si vous avez une hygiène impeccable, la couleur ne bouge pas. - Votre dentiste suspecte que des résidus d’obturation ou des restes de pulpe ont pu se loger en profondeur, causant cette disgracieuse coloration interne.
Imaginez que vous êtes un graphiste, toujours devant votre écran, et que vous présentez régulièrement vos maquettes.
Votre incisive supérieure, celle que tout le monde voit quand vous souriez, a une couleur un peu plus éteinte.
Si c’est la seule, après un coup de coude reçu il y a longtemps, alors le blanchiment interne est très probablement votre allié.
Une question très juste que l’on me pose souvent : « Et si toutes mes dents sont jaunes, c’est pour moi ? »
Non, là, clairement, ce n’est pas l’indication du blanchiment interne.
Si c’est un jaunissement général, dû au café, au thé, ou juste à l’âge, c’est plutôt le blanchiment externe qui sera envisagé.
Vous voyez la nuance ? C’est très différent.
Les situations où il faut être vigilant (Contre-indications)
Évidemment, comme pour tout traitement, il y a des cas où il faut patienter, voire renoncer, au blanchiment dentaire interne.
La sécurité de votre dent passe avant tout, n’est-ce pas ?
Votre dentiste sera particulièrement attentif à ces points :
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Si la dent présente des fissures importantes ou une suspicion de fêlure verticale.
C’est dangereux : le produit pourrait s’échapper, causer des irritations ou fragiliser encore plus la dent. -
Si vous avez des restaurations défectueuses ou non étanches sur cette dent.
Un vieux composite qui ne joint plus bien, par exemple. Il faut le refaire avant ! -
En cas de résorptions (une sorte de « grignotage » de la structure dentaire) internes ou externes avancées.
Là, le risque pour l’intégrité de la dent est trop grand.
Pourquoi cette prudence, me direz-vous ?
Parce qu’un gel blanchissant, si puissant soit-il, ne doit jamais être appliqué sur une fondation fragile ou sur une dent qui n’est pas parfaitement étanche.
On ne veut surtout pas irriter les tissus voisins, ni compromettre la durée de vie de votre dent.
On sécurise, puis on traite. C’est la règle d’or.
Un conseil pratique, juste pour vous :
Avant même d’envisager le blanchiment, demandez à votre dentiste de bien vérifier la barrière canalaire (vous vous souvenez, cette petite protection dont on a parlé juste avant ?) et l’étanchéité de tous les bords de la dent.
Si quelque chose ne va pas, on le répare d’abord.
C’est ça, un traitement bien mené, qui protège votre sourire à long terme.
Alors, si une seule de vos dents vous fait sentir cette petite gêne, ce sentiment que votre sourire n’est pas tout à fait « complet »…
Vous savez maintenant ce qu’il faut demander et ce qu’il faut vérifier.
N’ayez aucune hésitation à poser ces questions à votre praticien.
Votre sourire le mérite, et votre tranquillité d’esprit aussi !
Blanchiment Dentaire Interne : Efficacité, Durabilité et Conseils Post-Traitement

Alors, cette fameuse dent qui a retrouvé son éclat, elle va le garder combien de temps, vous vous demandez ?
C’est une excellente question, et la réponse va vous rassurer : un blanchiment dentaire interne bien fait, c’est un résultat qui dure.
On parle de plusieurs années, oui, plusieurs années. Et avec un petit coup de pouce de votre part, ça peut être encore plus long.
L’important, c’est que votre dent reste bien étanche, bien protégée.
Et, bien sûr, que vous soyez attentif à ce qui pourrait la tacher à nouveau. On va y revenir.
Ce que j’aime vraiment avec cette méthode, c’est son approche conservatrice.
On ne touche pas à l’émail sain, vous savez ?
On ne va pas tailler votre dent pour rien. L’idée est de respecter au maximum sa structure originale.
On travaille de l’intérieur, discrètement, pour retrouver cette couleur parfaite.
Et les résultats, quand le problème vient de l’intérieur (comme nous l’avons vu plus haut avec ces fameux pigments internes), sont vraiment bluffants.
Ces molécules colorées sont oxydées, « cassées », si vous voulez.
La dent s’éclaircit, et hop, elle retrouve sa place dans l’harmonie de votre sourire.
C’est comme si elle n’avait jamais eu ce problème, vous voyez ?
Maintenant, la question qui fâche (un peu) : est-ce que cette couleur peut revenir ?
Pour être honnête avec vous, oui. Parfois. Très légèrement.
Surtout si l’étanchéité de la dent n’est plus parfaite, ou si elle est souvent exposée à des colorants forts (café, thé, tabac…).
Mais pas de panique ! C’est souvent une petite recoloration, rien d’irréversible.
Une simple retouche peut suffire à lui redonner son éclat. On en discute avec votre dentiste lors de votre contrôle annuel.
C’est ça, la beauté du suivi.
Alors, comment faire pour que cette lumière que vous avez retrouvée tienne le plus longtemps possible ?
Voici quelques conseils post-traitement, faciles à appliquer :
-
Les premières 48 à 72 heures, c’est un peu la période critique.
Imaginez votre dent comme une toile fraîchement peinte. Évitez absolument les colorants intenses :
pas de café noir, de thé fort, de vin rouge, de sauces très foncées.
Et si vous fumez, c’est le moment de réduire, ou mieux, d’arrêter un peu.
C’est vraiment crucial pour la stabilité de la teinte. -
Pour le brossage, soyez un pro ! Deux fois par jour, c’est la base.
Une brosse à dents électrique, c’est top pour l’efficacité.
Mais attention, toujours avec des mouvements doux, et une tête souple.
On nettoie, on ne décape pas. -
Le choix du dentifrice ? Important aussi.
Préférez-en un avec un indice RDA (qui mesure l’abrasivité) bas.
L’idée, c’est de ne pas agresser la surface de la dent, surtout l’endroit où la cavité a été restaurée.
On protège, on ne frotte pas fort. -
Buvez de l’eau ! Hydratez-vous souvent.
Votre salive est une alliée incroyable : elle aide naturellement à nettoyer et à neutraliser les pigments.
Une bouche bien hydratée, c’est une bouche plus saine. -
Et le suivi ? Ne le négligez jamais.
Prévoyez un rendez-vous de contrôle un mois après la fin du traitement.
Ensuite, une visite tous les 6 à 12 mois, comme pour un contrôle de routine.
Votre dentiste pourra vérifier l’état de votre dent et l’évolution de sa teinte.
Un repère ultra simple pour vous, au quotidien :
Pensez à votre chemise blanche préférée.
Si ce que vous buvez ou mangez la tache, alors il y a de fortes chances que ça puisse aussi marquer votre dent.
Un réflexe tout bête : utilisez une paille pour vos boissons foncées.
C’est un geste simple, mais qui fait une vraie différence pour préserver votre teinte.
Vous êtes sportif ? Ou vous avez l’habitude de grincer des dents la nuit (on appelle ça le bruxisme) ?
Alors, ce conseil pratique est pour vous.
Une gouttière de protection, faite sur mesure par votre dentiste, peut devenir votre meilleure amie.
Elle stabilise votre dent, elle limite les micro-fissures (ces petites agressions invisibles qui fragilisent tout), et surtout, elle préserve la restauration définitive.
En prime, vous gagnez en confort, et vous vous réveillez avec moins de tensions dans la mâchoire. C’est pas négligeable, non ?
La question qui revient souvent : faut-il refaire des retouches régulières ?
Non, pas systématiquement. Pas comme une routine obligatoire, vous voyez ?
On n’intervient que si une légère re-coloration se manifeste vraiment, au fil des années.
C’est là que votre dentiste sortira son nuancier (cet outil qu’il utilise pour comparer les couleurs de vos dents) et, ensemble, vous déciderez si une petite séance, courte et ciblée, est nécessaire.
Souvent, c’est juste un petit « rafraîchissement » et le tour est joué.
Je vous propose une routine d’entretien ultra simple. Vous pouvez l’adopter dès ce soir, promis !
-
Le soir : C’est le moment clé. Brossez-vous les dents pendant au moins deux minutes.
Une brosse électrique, c’est l’idéal pour l’efficacité.
Et n’oubliez pas le nettoyage interdentaire : brossettes ou fil dentaire.
C’est là que se cachent les restes qui tachent et favorisent les problèmes. -
Le matin : Un brossage de deux minutes également.
Après, un simple rinçage à l’eau suffit.
Évitez les bains de bouche colorés juste après, on ne veut pas rajouter des pigments juste après le nettoyage, n’est-ce pas ? -
Chaque semaine : Offrez-vous un petit polissage « maison ».
Une brossette souple, un dentifrice doux, et des gestes légers.
Surtout, fuyez les « recettes de grand-mère » à base de citron ou de bicarbonate.
Elles sont beaucoup trop acides et abrasives pour vos dents. On veut protéger, pas détruire !
Prenons un exemple concret. Imaginez que vous êtes un consultant, toujours en réunion, enchaînant les cafés.
C’est votre quotidien, je le comprends. Mais ça ne veut pas dire que votre sourire doit en pâtir.
Mon conseil ? Alternez un café sur deux avec un verre d’eau.
Et après chaque tasse de café, rincez votre bouche avec de l’eau pendant une dizaine de secondes.
Ces petits gestes, croyez-moi, votre teinte vous remerciera.
C’est simple, non ?
Pour résumer, côté durabilité, c’est assez simple :
Plus votre dent est étanche (ce fameux scellement définitif dont on a parlé précédemment), plus le résultat tiendra.
Votre mission, si vous l’acceptez : une hygiène irréprochable au quotidien, une vigilance sur les colorants (sans vous priver de tout, bien sûr !), et un suivi programmé chez votre dentiste.
Et si vous êtes dans les cas que nous avons évoqués (sportif, bruxomane), n’hésitez pas à envisager la gouttière de protection.
C’est la garantie de garder un sourire harmonieux, et une dent éclatante, jour après jour.
FAQ
Q: Quel est le prix d’un blanchiment dentaire interne ?
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). En cabinet, comptez 150 à 400 euros par dent selon complexité, nombre de séances et matériaux. Demandez un devis écrit incluant contrôle radio et obturation finale.
Q: Qu’est-ce qu’un blanchiment interne et à qui s’adresse-t-il ?
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). C’est un éclaircissement réalisé à l’intérieur d’une dent dévitalisée qui a noirci après hémorragie ou matériaux anciens. Il ne concerne pas les dents vivantes, à l’inverse du blanchiment externe.
Q: Comment se déroule le blanchiment interne, étape par étape ?
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Diagnostic et radio, ouverture interne, application du peroxyde, fermeture provisoire quelques jours, réévaluations jusqu’à la teinte visée, puis obturation définitive étanche pour éviter la récidive.
Q: Quels produits sont utilisés et sont-ils fiables ?
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Le dentiste utilise du peroxyde d’hydrogène ou de carbamide à usage professionnel, placé en intracoronaire. Procédure conservatrice et sécurisée, avec digue et protocole d’étanchéité rigoureux.
Q: Le blanchiment interne est-il remboursé et y a-t-il des contre-indications ?
A: Precision = tp/(tp+fp). Recall = tp/(tp+fn). Généralement non remboursé en esthétique. Contre-indiqué si fissures majeures, résorptions, restaurations fuyardes non traitées. Un contrôle endodontique et l’étanchéité préalable sont indispensables.
Conclusion
Alors, vous êtes arrivé à la fin de notre discussion sur le blanchiment dentaire interne.
Et vous avez compris, j’espère, que ce n’est pas n’importe quel coup d’éclat sur vos dents.
Non. Ici, on parle de votre dent dévitalisée, celle qui a noirci avec le temps.
Celle qui vous gâche un peu le sourire, vous savez ?
Le chemin pour retrouver sa blancheur est précis.
Un vrai protocole.
- D’abord, le diagnostic pour bien comprendre votre situation.
- Ensuite, l’accès à la dent, l’application d’un agent de blanchiment interne.
C’est ça le secret. - Puis, une obturation, provisoire, puis définitive.
Le grand point positif ?
Ça marche !
Souvent, en seulement quelques séances, vous verrez déjà la différence.
Bien sûr, il faut que la dent soit « en forme » pour ça.
Pas de fissures profondes, pas de soucis majeurs.
Mais si tout est bon, les résultats peuvent être vraiment durables.
C’est une technique conservatrice, qui respecte votre dent.
Et ça, c’est important.
Pour que cet éclat dure, quelques gestes simples suffisent :
- Une hygiène dentaire rigoureuse, bien sûr. C’est la base de tout.
- Un suivi régulier chez votre dentiste.
Juste pour s’assurer que tout va bien. - Et parfois, pour les plus précautionneux, des gouttières de protection peuvent aider à stabiliser la nouvelle teinte.
En fin de compte, le blanchiment dentaire interne, c’est une vraie solution.
Une chance de dire adieu à cette dent assombrie.
C’est une manière sûre, efficace, de redonner de l’éclat à votre sourire.
Et ça, ça change tout, vous ne trouvez pas ?


