Blanchiment dentaire dentiste prix et remboursement mutuelle : fourchettes tarifaires, prise en charge possible et guide pratique pour réduire votre reste à charge

Avoir un sourire plus blanc, c’est une chose.
Mais comprendre le prix d’un blanchiment dentaire et son potentiel remboursement ?

Ça, c’est une autre histoire.

Vous avez sûrement entendu que c’est un soin de luxe, jamais pris en charge.
Et vous n’avez pas tout à fait tort. Mais pas tout à fait raison non plus.

La vérité est simple : pour la Sécurité Sociale, un blanchiment dentaire est un soin purement esthétique.
Le remboursement est donc de zéro. C’est clair, net, et sans surprise.

Mais votre mutuelle, elle, a son mot à dire.
C’est là que tout se joue.

Dans ce guide, on va décortiquer ensemble, sans jargon inutile :

  • Le vrai prix d’un blanchiment chez le dentiste, avec des fourchettes concrètes.
  • Comment vérifier si votre mutuelle propose une prise en charge pour ce type de soin.
  • Et la méthode exacte pour obtenir un devis et limiter votre reste à charge.

L’objectif ? Que vous preniez une décision éclairée, sans mauvaise surprise sur la facture finale.

Prix d’un blanchiment dentaire chez le dentiste : Comprendre devis et fourchette tarifaire

Prix dun blanchiment dentaire chez le dentiste  Comprendre devis et fourchette tarifaire.jpg

On a parlé du remboursement, ou plutôt de son absence côté Sécurité Sociale.
Mais ce qui vous brûle les lèvres maintenant, c’est le vrai coût, n’est-ce pas ?

Combien, concrètement, un blanchiment dentaire chez le dentiste va-t-il vous coûter ?

Honnêtement, attendez-vous à une fourchette.
Généralement, c’est entre 400 et 800 euros. Oui, c’est large.
Mais il y a des raisons. Et on va les voir ensemble.

Ce prix, il couvre tout : l’évaluation de vos dents, le produit éclaircissant (souvent à base de peroxyde) et bien sûr, le suivi après le traitement.

Alors, pourquoi une telle différence de prix ?
Eh bien, c’est comme choisir une voiture : ça dépend des options, de la puissance…
Ici, la méthode choisie, c’est la clé.

Votre dentiste peut opter pour une séance en cabinet, avec une lampe spéciale qui active le gel de peroxyde.
Ou un gel très concentré.
Ou alors, une approche combinée : une séance en cabinet, puis des gouttières sur mesure à emporter chez vous pour le maintien. Chaque approche a son prix, vous voyez ?

Et puis, il y a les « imprévus »… ou plutôt les étapes nécessaires.
Si vos dents ont des taches tenaces, beaucoup de tartre, ou même de petites caries, le dentiste devra peut-être faire un détartrage ou d’autres soins préalables.

Ces ajustements s’ajouteront à votre devis initial. C’est logique, on ne construit pas sur du sable, n’est-ce pas ?

Prenons deux situations, pour que ce soit plus clair et concret.

Imaginez que vous êtes un amateur de café (deux tasses par jour) et de thé (une le soir).
Vos dents ont pris quelques couleurs avec le temps.
Le dentiste pourrait vous proposer une séance en cabinet pour un coup d’éclat rapide, puis des gouttières personnalisées pour les retouches à la maison, et pour maintenir le résultat.

Là, on parlerait d’un devis qui oscille probablement entre 650 et 750 euros.
Ça vous donne une idée précise pour ce type de protocole.

Maintenant, un autre cas.
Peut-être avez-vous un émail un peu fin, ou une légère sensibilité dentaire.
Votre dentiste, attentif à votre confort, optera pour un protocole plus doux.

Souvent, ce sera des gouttières personnalisées, à utiliser tranquillement chez vous sur 10 à 14 jours.
Le coût serait alors plus bas, environ 450 à 600 euros. Moins intense, mais tout aussi efficace sur la durée, si c’est adapté à votre situation.

Le conseil le plus précieux ? Toujours demander un devis détaillé.
Ne vous contentez pas d’un chiffre global.
Vous devez savoir ce que vous payez exactement, poste par poste.

Vous y verrez le prix du gel, de l’acte en cabinet, des fameuses gouttières, et des rendez-vous de contrôle.
C’est votre droit, et ça évite les mauvaises surprises, comme on l’a dit plus tôt sur les remboursements.

Élément du devis Ce que ça couvre Impact sur le prix
Technique utilisée Lampe en cabinet ou gouttières à domicile Élevé
Nombre de dents Arcade complète ou zones ciblées Moyen
Pré-traitements Détartrage, soins des caries, collets Élevé
Suivi/retouches Gel à domicile, rendez-vous de contrôle Moyen

Vous vous demandez combien de temps ça prend, une séance de blanchiment ?
En général, comptez entre 45 minutes et 2 heures.
Ça dépend vraiment de la méthode choisie et du niveau de blancheur que vous visez.
Mais ce n’est jamais une journée entière, rassurez-vous !

Voici une petite action à faire, là, tout de suite.
Ça prend à peine 2 minutes.
Prenez une note ou ouvrez un pense-bête sur votre téléphone : notez toutes vos habitudes colorantes.

Le café, le thé, le vin rouge (blanc aussi, il n’est pas innocent !), les jus de fruits très colorés, le curry…
Tout ce qui peut teinter vos dents.
Montrez cette liste à votre praticien lors de votre consultation.
Ça l’aidera énormément à ajuster l’intensité du traitement et à élaborer un plan de retouches vraiment adapté à votre mode de vie. C’est malin, non ?

Si vous aimez bien avoir un certain contrôle et gérer les choses à votre rythme, n’hésitez pas à demander si des gouttières personnalisées peuvent venir compléter une séance en cabinet.
Souvent, c’est cette combinaison qui offre le résultat le plus durable.
Vous maintenez l’éclat à la maison, comme bon vous semble.

Pour résumer, un blanchiment dentaire, c’est bien 400 à 800 euros.
Le prix final est influencé par la technique, la préparation de vos dents, et le suivi post-traitement.
Mais le plus important, vous l’avez compris, c’est d’avoir un devis hyper clair, poste par poste, avant de dire oui.
Pas de surprise, juste un sourire plus lumineux !

Blanchiment dentaire dentiste : Pourquoi la Sécurité Sociale ne rembourse pas cet acte esthétique

Prix dun blanchiment dentaire chez le dentiste  Comprendre devis et fourchette tarifaire.jpg

Bien, nous avons déjà exploré ensemble le vrai coût d’un blanchiment dentaire et comment un devis clair peut vous sauver de bien des surprises, n’est-ce pas ?

Mais une question persiste, et elle est tout à fait légitime quand on parle de santé : et la Sécurité Sociale, dans tout ça ?

Est-ce qu’elle prend en charge une partie de ce soin esthétique ?

La réponse est directe, sans fioritures ni faux espoirs : non.

Pas de mystère ici. Pour l’Assurance Maladie, un blanchiment dentaire est catégorisé comme un acte purement esthétique.

Cela signifie simplement qu’il ne s’agit pas d’une intervention nécessaire pour votre santé buccale. Il n’améliore pas une fonction dentaire essentielle, comme soigner une carie, traiter une infection ou remplacer une dent manquante.

Imaginez un peu : la Sécurité Sociale, son rôle premier, c’est de couvrir ce qui relève du médical.
Ce qui doit être *réparé* pour que vous puissiez manger, parler, ou vivre sans douleur et sans risque pour votre santé.

Un blanchiment, lui, ne *répare* rien. Il ne guérit pas.

Il améliore juste l’aspect visuel de vos dents, leur éclat.
C’est une question de sourire plus lumineux, de perception. Et ça, voyez-vous, ça tombe dans la case « esthétique » pure et simple, sans prise en charge publique.

Alors, des exceptions, me direz-vous ?

Très, très rarement.

Il peut exister des situations précises, où le blanchiment serait lié à une pathologie ou à un traitement médical lourd. Mais ce sont des cas thérapeutiques exceptionnels, décidés au cas par cas par votre praticien.

Pas du tout le scénario habituel du blanchiment dentaire chez le dentiste pour un coup d’éclat.

Donc, soyons clairs : pour la grande majorité des personnes, 99 fois sur 100, vous n’aurez aucun remboursement de la part de la Sécurité Sociale pour ce type de soin.

C’est une réalité qu’il faut intégrer dès le départ pour construire votre budget.

Mais ne baissez pas les bras si vite !

Car si la Sécu reste inflexible sur l’esthétique, votre mutuelle santé, elle, pourrait bien changer la donne.

C’est elle, et elle seule, qui peut offrir un peu de répit à votre portefeuille.

Certaines mutuelles proposent des forfaits « soins non remboursés » ou des enveloppes dédiées à l’esthétique dentaire.

Nous allons d’ailleurs plonger dans ce sujet juste après, pour voir comment réduire au maximum votre reste à charge.

Action concrète à ne pas oublier :

Avant de prendre le moindre rendez-vous pour votre blanchiment dentaire, prenez une minute.

Appelez votre mutuelle.

Posez-leur les questions qui comptent :

  • Est-ce que j’ai un forfait annuel pour les soins dentaires non remboursés par la Sécu ?
  • Quel est le montant exact de ce forfait ?
  • Y a-t-il des conditions particulières ou un délai de carence à respecter ?
  • Dois-je leur envoyer le devis préalable que votre dentiste vous aura fourni (comme on l’a vu ensemble juste avant, rappelez-vous l’importance du détail) ?

Ce simple coup de fil, c’est un gain de temps énorme.

Et surtout, ça vous permet de savoir précisément où vous mettez les pieds, financièrement parlant, avant de vous engager.

Imaginez, vous êtes un jeune professionnel, vous venez d’être promu et devez souvent interagir avec des clients importants. Votre sourire, c’est une partie de votre première impression, n’est-ce pas ?

Vous décidez d’offrir un coup d’éclat à vos dents. Le dentiste vous remet un devis de 600 euros.

La Sécurité Sociale ? Zéro, on l’a dit.

Mais vous, malin, vous avez appelé votre mutuelle avant.

Et là, bonne nouvelle : elle prend en charge 200 euros par an pour les soins esthétiques non remboursés.

D’un coup, votre reste à charge passe de 600 à 400 euros.

C’est une sacrée différence, avouez ! Ça change tout pour votre budget, non ?

Remboursement mutuelle pour blanchiment dentaire dentiste : Fonctionnement et plafonds éventuels

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Bien, si la Sécurité Sociale, elle, ne jette qu’un œil distrait à votre envie d’un sourire éclatant, votre mutuelle a une carte à jouer.

Elle, elle peut parfois changer la donne.

Alors, la question qui brûle les lèvres : votre mutuelle, elle rembourse le blanchiment dentaire ?

La réponse est souvent un « oui » nuancé. Un « oui, mais… »

Pas de prise en charge totale, soyons clairs. Mais une aide non négligeable.

Dans la plupart des cas, votre mutuelle ne va pas vous rembourser le blanchiment de la même manière qu’une carie.

Non. Elle va souvent vous proposer un forfait annuel.

C’est ce qu’on appelle un « forfait soins non remboursés » par la Sécu.

Ce forfait, c’est comme une petite enveloppe budgétaire que vous avez à disposition chaque année.

Pour toutes ces petites choses, comme le blanchiment dentaire, qui ne sont pas considérées comme des soins « médicaux » par l’Assurance Maladie.

Les montants ? Ils varient, bien sûr, selon votre contrat.

Mais on voit souvent des forfaits qui oscillent entre 100 et 500 euros.

Oui, c’est vrai, cela ne couvrira pas l’intégralité du prix d’un blanchiment chez le dentiste (qui, on l’a vu, se situe plutôt entre 400 et 800 euros).

Mais 100, 200, ou même 500 euros de moins sur votre facture finale, ça fait toute la différence, vous ne trouvez pas ?

Ça réduit considérablement votre reste à charge.

Comment ça fonctionne, précisément ?

C’est assez simple, en fait. Il y a trois points clés :

  • Un forfait : C’est une somme d’argent annuelle, que vous pouvez utiliser en une ou plusieurs fois, jusqu’à épuisement.
  • Un plafond : Ce forfait a une limite, une sorte de « stop » annuel. Par exemple, si votre mutuelle vous donne 300 euros par an, vous ne pourrez pas dépasser ce montant.
  • Des conditions : Parfois, vous devrez respecter un délai de carence (attendre un certain temps après avoir souscrit votre contrat), fournir un devis préalable de votre dentiste, et bien sûr, la facture nominative une fois le soin réalisé.

Prenons un exemple, un de ces matins où vous êtes pressé pour une réunion importante.

Votre dentiste vous a remis un devis de 600 euros pour votre blanchiment.

Vous avez vérifié votre mutuelle (comme on l’a recommandé plus tôt, rappelez-vous l’importance de ce coup de fil !) et elle vous offre un forfait esthétique de 250 euros.

D’un coup, votre reste à charge passe de 600 euros à 350 euros.

C’est un sacré bol d’air pour votre budget, non ?

Maintenant, imaginez que vous êtes plutôt du genre à gérer votre budget au centime près.

Votre contrat vous propose 150 euros sur les soins non remboursés.

Vous décidez de commencer par des gouttières sur mesure, à utiliser tranquillement à la maison, pour un prix d’environ 500 euros.

Votre mutuelle vous rendra 150 euros. Il vous reste 350 euros à payer.

Ça devient plus accessible, surtout si vous avez pu l’anticiper dans vos dépenses.

Le conseil le plus simple et le plus efficace que je puisse vous donner ?

Sortez votre contrat de mutuelle. Le vrai. Et lisez ces quelques lignes essentielles :

  • L’intitulé exact du forfait : est-ce « soins non remboursés », « esthétique dentaire », ou autre chose ? Les mots sont importants.
  • Le montant exact de ce forfait annuel. Et voyez si vous pouvez le fractionner ou s’il doit être utilisé en une seule fois.
  • Les documents requis : un devis préalable, une facture détaillée… Soyez prêt !
  • Vérifiez la présence d’un éventuel délai de carence. Personne n’aime les mauvaises surprises.

Une petite astuce budgétaire si vous hésitez entre deux niveaux de contrat de mutuelle, un basique et un un peu plus couvrant :

Faites le calcul suivant : prenez le coût supplémentaire annuel du contrat supérieur, et soustrayez ce que vous économiseriez sur le blanchiment (grâce à un meilleur forfait).

Si la différence est minime, voire positive, le choix est vite fait, n’est-ce pas ? Une meilleure protection pour un coût presque équivalent.

Soyons clairs sur les limites :

Même avec une mutuelle qui semble très généreuse, le plafond, eh bien, reste un plafond.

Les contrats qui se vantent d’être « sans plafond » cachent souvent des petites lignes pour l’esthétique dentaire. Soyez vigilant, lisez tout.

Alors, pour une action concrète, qui prendra à peine une minute, juste là, maintenant.

Envoyez un mail simple et direct à votre mutuelle.

Quelque chose comme : « Bonjour, j’aimerais savoir si mon contrat actuel inclut un forfait pour les soins dentaires non remboursés par la Sécurité Sociale, spécifiquement pour un blanchiment dentaire chez le dentiste. Si oui, quel est le montant annuel de ce forfait, quelles sont les conditions (délai de carence, documents à fournir) et les modalités de remboursement ? »

Copiez-collez ça, envoyez. C’est fait. Vous aurez une réponse claire, ce qui est essentiel.

Et pour pousser l’optimisation encore plus loin, pour que ce sourire éclatant dure le plus longtemps possible ?

N’hésitez pas à demander à votre dentiste si l’intégration de gouttières personnalisées pour l’entretien peut faire partie du devis.

C’est un excellent moyen de prolonger les effets de votre blanchiment.

Et souvent, une partie de ces gouttières peut aussi être couverte par le fameux forfait annuel de votre mutuelle.

Un investissement malin, vous ne trouvez pas ?

Guide pas à pas pour obtenir votre remboursement de blanchiment dentaire dentiste

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On a bien compris que la Sécurité Sociale ne bougera pas le petit doigt pour votre sourire éclatant, n’est-ce pas ?

Mais votre mutuelle, elle, a potentiellement un rôle à jouer, un rôle non négligeable.
Vous avez déjà fait le premier pas en l’appelant, comme on l’a vu ensemble. C’est déjà super !

Maintenant, comment s’y prendre, étape par étape, pour transformer cet « accord de principe » en un remboursement bien réel ?

Il y a un cheminement précis, sans surprise, en cinq étapes. Et on va les parcourir ensemble, sans se perdre.

C’est une feuille de route claire, pour que vous sachiez exactement quoi faire, et quand.

Voici les 5 étapes clés, comme une petite check-list mentale :

  • 1. Obtenez votre devis détaillé chez le dentiste.
    Demandez-lui tout : la méthode choisie (lampe, gouttières ou les deux), le nombre de séances, et surtout, le coût total.
    Soyez précis, insistez pour avoir un document écrit, poste par poste. C’est votre base.
  • 2. Envoyez ce devis à votre mutuelle.
    Ne traînez pas ! Précisez que vous souhaitez un accord de prise en charge écrit pour un blanchiment dentaire esthétique.
    Vous avez déjà eu un aperçu de leur politique en les appelant, n’est-ce pas ? Maintenant, il faut que ce soit noir sur blanc.
  • 3. Recevez et analysez leur accord.
    La mutuelle va vous répondre. Lisez attentivement !
    Vérifiez le montant exact du forfait qu’ils vous allouent, les conditions (par exemple, si votre délai de carence est terminé), et les documents qu’ils exigeront après le soin.
  • 4. Réalisez votre blanchiment.
    Une fois l’accord en poche, vous pouvez prendre rendez-vous avec votre dentiste en toute sérénité.
    Après le soin, demandez une facture nominative, bien détaillée et surtout, mentionnant qu’elle est « acquittée » (c’est-à-dire payée).
  • 5. Transmettez la facture à votre mutuelle.
    C’est la dernière ligne droite ! Envoyez la facture originale (ou une copie certifiée conforme, si possible) à votre mutuelle.
    C’est elle qui déclenchera votre remboursement. Simple, non ?

Pourquoi insister sur cet ordre précis, ce cheminement ?

Parce que, sans cet accord préalable de votre mutuelle, certains contrats, vous savez, ils sont têtus.
Ils peuvent purement et simplement refuser votre demande, même si le soin est déjà fait. Et là, ça pique !

Un petit conseil pratique, qui ne coûte rien, mais peut rapporter gros : ne vous arrêtez pas au premier devis.
Prenez le temps de comparer deux à trois devis différents.

Vous verrez, les prix peuvent varier énormément selon la méthode employée (la fameuse lampe en cabinet, les gouttières personnalisées à la maison, ou un protocole combiné) et aussi en fonction du suivi post-traitement proposé.

Imaginez, vous êtes un entrepreneur, votre temps est précieux. Vous ne voulez pas vous tromper, ni perdre d’argent, n’est-ce pas ?
Un dentiste vous propose un blanchiment à 700 euros, un autre à 550 euros, pour un résultat et un suivi similaires.
Les 150 euros de différence, ça, c’est votre argent.
Une petite recherche de plus peut faire une grande différence sur votre reste à charge.

Maintenant, une question que beaucoup se posent : faut-il avancer tous les frais ?

Dans la grande majorité des cas, oui.
C’est vous qui réglez d’abord la totalité au dentiste, puis votre mutuelle vous rembourse selon le forfait que vous avez souscrit.
Le tiers payant, ce système où vous ne payez pas directement, est malheureusement très rare pour les soins esthétiques.

Alors, soyez prévoyant. Vérifiez bien cette clause dans votre contrat, juste pour être sûr.

Pour vous faciliter la vie, voici une petite checklist express.
Vous pouvez même la copier-coller pour votre prochain mail ou appel à votre mutuelle, si vous avez besoin de plus de précisions :

  • « Quel est le montant exact de mon forfait annuel pour les soins dentaires non remboursés par la Sécu, notamment pour un blanchiment dentaire ? »
  • « Ai-je besoin de vous envoyer un devis préalable et d’obtenir un accord écrit avant de commencer le traitement ? »
  • « Quels sont les délais de remboursement et quelles sont les pièces justificatives exactes à vous fournir ? »
  • « Y a-t-il un délai de carence qui s’applique encore à mon contrat pour ce type de soin ? »

Un petit bonus, pour optimiser votre budget et faire durer les résultats de votre blanchiment le plus longtemps possible :

Demandez à votre dentiste si l’intégration de gouttières personnalisées pour l’entretien peut figurer dans le devis initial.
Souvent, ces gouttières peuvent aussi être incluses dans le fameux forfait annuel de votre mutuelle.
C’est un moyen astucieux de prolonger l’éclat de votre sourire sans alourdir trop votre portefeuille. Malyn, non ?

Alors, voilà. Vous avez toutes les cartes en main.
Une feuille de route claire, des astuces concrètes, et toutes les informations pour ne pas vous laisser surprendre.

Maintenant, l’action !
Envoyez votre devis, obtenez l’accord, puis réservez cette séance qui va changer votre sourire.
Et profitez-en, tout simplement !

FAQ

Q: Est-ce que la mutuelle rembourse le blanchiment dentaire chez le dentiste ?

A: Précision = montant remboursé/(montant remboursé+reste à charge). Rappel = actes couverts/(actes couverts+actes exclus). Certaines mutuelles proposent un forfait annuel 100 à 500 euros. Vérifiez votre contrat ou demandez une attestation.

Q: La Sécurité sociale prend-elle en charge le blanchiment dentaire ?

A: Précision = actes pris en charge/(actes pris en charge+actes non pris). Rappel = soins esthétiques couverts/(soins esthétiques couverts+soins exclus). Non, c’est esthétique. Seules exceptions thérapeutiques très rares.

Q: Quel est le prix d’un blanchiment dentaire chez le dentiste ?

A: Précision = devis validés/(devis validés+devis approximatifs). Rappel = soins facturés/(soins facturés+options ignorées). Comptez 400 à 800 euros selon technique et dents traitées. Demandez un devis détaillé, incluant détartrage si nécessaire.

Q: Comment se faire rembourser par sa mutuelle le blanchiment dentaire ?

A: Précision = documents complets/(documents complets+pièces manquantes). Rappel = étapes suivies/(étapes suivies+étapes oubliées). Étapes: devis au dentiste, envoi à la mutuelle, accord, soin, facture, demande de remboursement.

Q: Génération, Malakoff, Harmonie, Swiss Life remboursent-elles le blanchiment ?

A: Précision = garanties confirmées/(garanties confirmées+suppositions). Rappel = offres éligibles/(offres éligibles+offres non éligibles). Oui si forfait non remboursé prévu. Montants variables. Demandez le libellé exact et le plafond annuel.

Conclusion

Alors, voilà où nous en sommes.

Vous avez désormais une idée assez précise des prix pour un blanchiment dentaire chez le dentiste.

On parle souvent de 400 à 800 euros, n’est-ce pas ? Tout dépendra de la technique choisie.

Une chose est claire : la Sécurité sociale ne prendra rien en charge. Zéro, nada.

Pourquoi ? Parce que c’est un acte purement esthétique. C’est comme ça. C’est la règle du jeu.

Mais votre mutuelle, elle, peut vous donner un sérieux coup de pouce.

On l’a vu : un forfait annuel, généralement entre 100 et 500 euros, ça peut faire toute la différence.

C’est une somme, vous savez.

Maintenant, pour que tout se passe sans accroc, voici la feuille de route, vos prochaines actions, très concrètement :

  • Demandez toujours un devis détaillé à votre dentiste. C’est la base. Sans ça, impossible d’avancer.
  • N’hésitez pas à comparer au moins deux options différentes. Vous verrez, ça aide à y voir plus clair.
  • Transmettez ce devis à votre mutuelle le plus tôt possible.
  • Obtenez leur accord écrit. C’est une étape non négociable avant de commencer le traitement.
  • Une fois votre blanchiment réalisé, envoyez-leur simplement la facture.

C’est une procédure simple, oui. Mais elle demande de la méthode. De la rigueur, même.

Un dernier conseil, vraiment important, avant de vous lancer :

Visez toujours un résultat naturel. Le but, ce n’est pas d’avoir des dents fluorescentes, n’est-ce pas ? Juste un coup d’éclat.

Maîtrisez bien votre budget. C’est crucial pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Et, pourquoi pas, explorez les solutions complémentaires, comme les gouttières à domicile. Elles peuvent être un excellent allié pour entretenir votre sourire, ou même comme alternative si votre budget est plus serré.

Voilà.

Vous avez toutes les cartes en main pour optimiser votre démarche, comprendre le prix du blanchiment dentaire chez le dentiste et gérer au mieux le remboursement de votre mutuelle.

À vous de jouer pour afficher ce sourire éclatant que vous méritez tant !

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